Il y a des moteurs qu’on n’oublie pas. Des mécaniques dont la mélodie résonne bien au-delà de la route. Chez Lamborghini, le V10 atmosphérique en fait partie. Né avec la Gallardo en 2003, prolongé par l’Audi R8 en 2009, puis sublimé avec la Huracan dès 2014, ce bloc iconique a accompagné plus de vingt ans de passion automobile. Aujourd’hui, c’est la fin d’un cycle. Et pour sa dernière danse, la Huracan tire sa révérence avec une ultime version : la STJ.
Dix ans de carrière, des déclinaisons à foison, et une ligne toujours aussi radicale : la Huracan achève sa route comme elle l’a commencée, avec panache. La STJ, pour Super Trofeo Jota, s’inscrit dans une tradition chère à Lamborghini. Celle des éditions les plus affûtées, à l’image des Miura SVJ et Aventador SVJ. La lettre « J », synonyme d’exclusivité chez le Taureau, annonce la couleur : seulement 10 exemplaires verront le jour, tous déjà vendus avant même sa présentation publique.
Côté mécanique, pas de révolution. Le V10 5.2 litres atmosphérique conserve ses 640 chevaux et ses 565 Nm, délivrés à 8 000 tr/min, envoyés aux roues arrière via une boîte à double embrayage à sept rapports. Mais quelques optimisations font toute la différence. Quatre amortisseurs réglables, directement issus de la compétition, viennent renforcer l’efficacité. Les pneumatiques aussi évoluent : des Bridgestone Potenza Race à haute adhérence, conçus spécifiquement pour ce modèle. Résultat : la STJ gagne une seconde pleine sur le circuit de Nardò face à la déjà très affûtée STO.
Là où la STJ se distingue vraiment, c’est sur le plan aérodynamique. Deux nouveaux appendices en carbone viennent affûter sa silhouette, tandis que l’aileron arrière gagne 3 degrés d’inclinaison, augmentant la charge aéro de 10%. Chaque détail est pensé pour maximiser la performance.
Et puisque Lamborghini ne fait jamais les choses à moitié, deux configurations exclusives signées Centro Stile sont proposées. D’un côté, une robe Grigio Telesto coiffée d’un toit Nero Noctis, soulignée de touches Rosso Mars et Bianco Isi. De l’autre, un Blu Eliadi plus vibrant, toujours accompagné du même traitement bicolore. L’habitacle, lui, reste fidèle à l’esprit Huracan : Alcantara noire Cosmus, coutures Rosso Alala, inserts en cuir, et surtout, une plaque numérotée en carbone, rappelant l’exclusivité du modèle.
La STJ marque la fin d’une époque. Un adieu à la pureté du V10, sans hybridation, sans compromis. Avant de laisser place à la Temerario, dotée d’un V8 hybride, Lamborghini signe ici une révérence spectaculaire. Un dernier rugissement, brut et sincère. Une page se tourne, et quel chapitre.
Pas moins de douze ans après la présentation de la P1, McLaren remet le couvert et nous offre une déclinaison dans la lignée de ses plus belles supercars : la W1. Alors que certains trouveront une signification à la présence du W (Woking, Winner…), nous nous attarderons surtout sur la correspondance évidente avec les F1 et P1. McLaren ne fait pas les choses à moitié et dévoile ici la voiture la plus puissante de son histoire, et bien plus encore. Ferrari n’a qu’à bien se tenir.
Aucune automobile ne se ressemble. Et derrière chaque volant, la passion s’exprime différemment. Certains vivent leur auto comme une compagne de route quotidienne, d’autres comme une pièce de collection jalousement préservée. C’est pour cela que nous avons fait du sur-mesure bien plus qu’une promesse : c’est notre manière d’être, au quotidien.
Une semaine seulement après la révélation tant attendue de la nouvelle hypercar de McLaren, remplaçante de la légendaire P1, Ferrari offre une belle surprise à l’ensemble de ses fans. Bien plus qu’une nouvelle itération du savoir-faire Ferrari, la petite dernière est un concentré d’histoire, de performance, de nouveautés et de brutalité. Voici la F80.
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