Depuis 20 ans, la marque suédoise dont on ne parvient pas à prononcer le nom ne cesse de nous impressionner par ses innovations. Dirigée par Christian von Koenigsegg, elle fait aujourd’hui partie du cercle très restreint des constructeurs capables de produire les hypercars les plus avancées du monde.

Son premier modèle, la CC8S, produit de 2002 à 2004, en sera une parfaite introduction. Sa carrosserie et son châssis en matériaux composites, combinés à une boîte de vitesses manuelle, des portes dièdres, un toit targa logeable dans le coffre avant et un moteur V8 de 655 chevaux, pour 390 km/h de pointe, en feront un modèle d’anthologie. Pour lui rendre hommage et célébrer les 50 ans de son fondateur, Koenigsegg dévoile une interprétation moderne : la CC850.

Pas de doute, la CC850 est bien la descendante directe de la CC8S, son design en est le reflet presque fidèle, à quelques détails modernisés près. Présentée lors du concours d’élégance The Quail, en Californie, la CC850 gagne environ 17 centimètres en longueur, adopte des optiques avant et arrières esthétiquement retravaillés et des rétroviseurs affinés. À l’exception de ces ajustements extérieurs, seul l’habitacle, considérablement remis au goût du jour, trahit la différence au premier regard. Ce contraste met en lumière l’intemporalité du dessin originel de la CC8S, dont la silhouette traverse les décennies, là où l’intérieur, lui, avait besoin d’une refonte complète pour répondre aux standards actuels.

En revanche, Koenigsegg ne s’est pas contenté des 655 chevaux de la CC8S et augmente drastiquement la puissance, au prix d’un léger surpoids. Les 1 175 kg de la CC8S passent à 1 385 kg pour la CC850, une prise de masse vite oubliée face aux 1 385 chevaux développés par le V8 5.0L. Le ratio poids/puissance atteint ainsi 1:1 rappelant une certaine Agera One :1, un clin d’œil supplémentaire à l’histoire de la marque. Mais plus encore que ses chiffres, c’est la transmission de la CC850 qui intrigue : elle combine, pour la première fois au monde, une boîte automatique… et une véritable boîte manuelle. Un tour de force technique inédit.

La volonté de Koenigsegg est simple. Offrir à ses clients la possibilité de profiter d’une boîte manuelle et de l’engagement qu’elle procure, tout en permettant une conduite plus détendue en mode automatique. Lorsque le levier de vitesse est au point mort, il suffit au conducteur de le placer tout à droite pour enclencher le mode automatique, ou d’engager la 1ere vitesse pour passer en mode manuel.
Très simple d’utilisation, cette double boîte est pourtant très ingénieuse lorsque l’on se penche sur son fonctionnement. La boîte automatique comporte 9 vitesses, tandis que la boîte manuelle n’en propose que 6. Étant trop nombreuses pour une grille, les 9 vitesses sont réparties selon un rapport bien spécifique.

Lorsque le conducteur décide d’utiliser le mode manuel, il bénéficie d’une reproduction analogique particulièrement réaliste : un embrayage doté d’un retour de force, un levier de vitesse avec une sensation mécanique et toutes les contraintes mécaniques associées. Bien que ce mode manuel utilise la boîte automatique, il est impossible pour le conducteur de passer un rapport sans utiliser correctement l’embrayage, ou de rétrograder sans respecter le régime moteur, comme sur une véritable boîte manuelle.

En réalité, le fonctionnement repose sur une logique de correspondance entre les rapports : quand le conducteur passe la 1ère vitesse manuelle, il utilise en réalité la 2ème vitesse de la boîte automatique. Ce schéma se reproduit avec les paires suivantes : 2/4, 3/5, 4/6, 5/7 et 6/8. Ce fonctionnement permet de bénéficier des capacités de la boîte automatique en mode manuel, et d’obtenir une excellente reproduction de sa conduite.
Légèreté, puissance, design intemporel, technologie de pointe, boîte manuelle et boîte automatique, voici quelques raisons de considérer la CC850 comme l’hypercar la plus polyvalente du moment, un condensé de technologie pour un maximum de sensations.

La destinée existe-t-elle ? Une question vaste, presque philosophique, à laquelle les ingénieurs et les passionnés de Maserati répondraient sans hésiter par l’affirmative. Fondée en 1914 à Bologne par la famille Maserati, la marque passe en quelques années d’un simple atelier de mécanique travaillant sur des Isotta-Fraschini à un véritable département de compétition. En 1926 naît la Type 26, première création maison et première à arborer le Trident inspiré de la fontaine de Neptune de Bologne.
Il y a toujours cette petite hésitation au moment de préparer un voyage. L’envie de prendre sa voiture d’exception, de savourer chaque kilomètre, de faire de la route une partie intégrante de l’expérience… et, en même temps, les contraintes. La logistique, les risques, l’incertitude d’arriver serein. Trop souvent, on renonce, laissant son automobile là où elle est, à l’abri mais immobile. C’est précisément là que Carsup change la donne. Voyager avec votre voiture ne devrait jamais être une source d’inquiétude, mais un plaisir simple et fluide.
Il y a des années charnières en Formule 1. Des saisons où l’on sent que quelque chose bascule, où les certitudes vacillent, où l’ingénierie reprend le dessus sur l’habitude. 2026 fait partie de celles-là. Les règlements changent, les voitures se transforment, les moteurs entrent dans une nouvelle ère hybride, et même la grille accueille de nouveaux visages. Cadillac arrive. Audi se prépare. La F1 s’apprête à écrire un chapitre où tout redevient possible. Et c’est sans doute ce que les passionnés attendaient : une discipline qui réinvente son propre futur.
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